Bonjour, et bienvenue sur ce site

Les citations ci-dessus introduisent parfaitement la problématique du Bilan écologique. Les systèmes comptables nationaux ne comptent en effet pour rien la Nature, à laquelle nous devons tout en termes de moyens d’existence. Mais Bertrand de Jouvenel  ne pouvait cependant imaginer, en 1968, que nous lui devions tout aussi en termes de moyens financiers; ce qui ne pouvait apparaître que dans une toute nouvelle approche économique du système occidental.

Ce qui fut le cas dans ma thèse, en économie « écologique », à laquelle le champ de saisie à droite vous permet d’accéder. Pour révéler tous les aspects de la dette de l’économie envers la nature, et pour trouver la solution au système de pensée qui en avait coupé l’homme, il aura  fallu adopter, comme Einstein l’affirmait, un nouveau système de pensée.

Parce qu’il est recentré sur le Vivant, il sera seul susceptible de nous offrir une vision d’ensemble des impacts en retour de notre fonctionnement économique démentiel sur celle à qui nous devons tout.

Corrigé :

1 – J’ai, pour apprendre à les défendre, passé ma vie à étudier le Vivant et la Nature. Mais jamais je n’aurais  imaginé à quel point sur terre le Vivant produit la Nature, et la Nature le Vivant, comme l’œuf et la poule. Aujourd’hui pourtant, j’ai pu le démontrer.

2 – Et comme l’homme consomme maintenant plus de deux fois ce que la Nature produit au long des saisons, et qu’il puise donc chaque année un peu plus sur ses stocks accumulés depuis des millions d’années, il en résulte que la Nature comme le Vivant sont désormais à bout de souffle.

3 -N’en déplaise aux économistes rétrogrades, par profession ou pure ignorance, il est aujourd’hui devenu évident que notre sort est structurellement lié à tout ce que n’ont cessé de produire  la Nature et le Vivant, avec et dans  la Biosphère, depuis près de 3 milliards d’années.

4 – Non, ce n’est pas nous qui sommes les producteurs primaires de ce que consomme l’économie, c’est la Nature ! L’air que nous respirons, l’oxygène que les machines consomment, l’eau que nous buvons, les forêts que nous exploitons, la biodiversité que nous consommons, les ressources fossiles et minières que nous extrayons, …, tout, absolument tout, a été produit par les organismes vivants, les autotrophes, à compter des premières bactéries (archées) des sources hydrothermales profondes, jusqu’aux plantes terrestres des hauts plateaux, en passant  par les protistes, ces magnifiques créatures du phytoplancton océanique, producteur à lui seul de près de la moitié de l’oxygène terrestre.

Ici dessous un carrousel des plus belles images de protistes.

En dessous : Source de ces images : Plancton, de Christian Sardet

Rupteur ici

5 – Aussi, ne croyez pas ceux qui vous disent que le capital, et l’économie derrière, pourront quand il le faudra remplacer la nature défaillante, c’est un leurre.

6) Auraient-ils des milliards de milliards, s’ils ne se décident pas à changer leur paradigme démentiel, leur sort, tout comme Richard III, prêt à céder son trône pour un cheval, sera de mourir de faim, soif et asphyxie assis sur leur tas de monnaie, d’or ou de diamants devenus inutiles; qu’ils l’ignorent, s’en doutent ou fassent l’autruche, c’est du pareil au même; ces milliards, ils les ont sans exception tirés d’une ponction quelconque de ressources naturelles.

7) Prenons l’exemple du changement climatique. Il existe une loi incontournable, une relation directe de cause à effet  entre chaque nouveau $ (ou €) produit, et une quantité de CO2 émise vers l’atmosphère. Le stock de CO2 atmosphérique qui produit l’effet de serre n’est ainsi rien d’autre que la contre-partie de tous les stocks de $ accumulés. Notre patrimoine naturel, aussi profond soit-il enfoncé sous terre, est ainsi sans cesse « déterritorialisé » sous forme de capitaux monétaires, qui tout en haut de l’économie circulent dans le nouvel atmosphère, irrespirable, des marchés financiers mondialisés.

8) L’être humain serait-il devenu hostile à la vie ? Nous avons toutes raisons de le craindre.

9) Mais pourtant, il n’en a pas toujours été ainsiPour comprendre de quoi il s’agit, faisons une première introspection des concepts abordés par le Bilan écologique : l’entropie, positive et négative (dite encore néguentropie). L’économiste Nicholas Georgescu-Roegen , dans La décroissance (1979), son ouvrage de référence  (voir ici un résumé), fut le premier à poser la question de ce que l’économie consommait réellement. Suivant de près les travaux d’Ilya Prigogine, prix Nobel de chimie 1977, sur les structures dissipatives et la thermodynamique des processus irréversibles,  il en déduisit que l’économie, pour construire son ordre interne, consommait l’ordre de la Nature, et lui rendait son propre désordre. Et c’est ainsi qu’il introduisit, dans cet ouvrage, le concept d’entropie en économie :

Quelques économistes ont relevé que l’homme ne peut ni créer ni détruire de la matière ou de l’énergie, vérité qui découle du principe de conservation de la matière-énergie, autrement dit du premier principe de la thermodynamique. Cependant nul ne paraît avoir été frappé par la question, si troublante à la lumière de cette loi: « Que fait alors le processus économique ? » […] La réponse à la question sur ce que fait le processus économique est simple : il ne produit ni ne consomme de la matière-énergie ; il se limite à absorber de la matière-énergie pour la rejeter continuellement. C’est ce que la pure physique nous enseigne […] L’économiste non orthodoxe que je suis ajouterait que ce qui entre dans le processus économique consiste en ressources naturelles de valeur, et que ce qui en est rejeté consiste en déchets sans valeur. Or, cette différence qualitative se trouve confirmée, quoique en termes différents, par une branche particulière et même singulière de la physique connue sous le nom de thermodynamique. Du point de vue de la thermodynamique, la matière-énergie absorbée par le processus économique l’est dans un état de basse entropie et elle en sort dans un état de haute entropie […] L’énergie se présente sous deux états qualitativement différents, l’énergie utilisable ou libre, sur laquelle l’homme peut exercer une maîtrise presque complète, et l’énergie inutilisable ou liée, que l’homme ne peut absolument pas utiliser […] Lorsqu’on brûle un morceau de charbon, son énergie chimique ne subit ni diminution ni augmentation. Mais son énergie libre initiale s’est tellement dissipée sous forme de chaleur, de fumée et de cendres, que l’homme ne peut plus l’utiliser. Elle s’est dégradée en énergie liée. L’énergie libre est de l’énergie qui manifeste une différence de niveau telle que l’illustre tout simplement la différence entre les températures intérieure et extérieure d’une chaudière. L’énergie liée est au contraire, de l’énergie chaotiquement dissipée. Il est possible d’exprimer cette différence d’une autre façon encore. L’énergie libre implique une certaine structure ordonnée comparable à celle d’un magasin où toutes les viandes se trouvent sur un comptoir, les légumes sur un autre, etc. L’énergie liée est de l’énergie dispersée en désordre, comme le même magasin après avoir été frappé par une tornade. C’est la raison pour laquelle l’entropie se définit aussi comme une mesure de désordre. Elle rend compte du fait que la feuille de cuivre comporte une entropie plus basse que celle du minerai d’où elle a été extraite […] C’est ce qui arrive avec des cubes de glace dans un verre, qui, une fois fondus, ne se reformeront pas d’eux-mêmes. D’une façon générale, l’énergie thermique libre d’un système clos se dégrade continuellement et irrévocablement en énergie liée. L’extension de cette propriété de l’énergie thermique à toutes les autres formes d’énergie conduisit au Deuxième Principe de la Thermodynamique, appelé aussi la Loi de l’Entropie. Cette loi stipule que l’entropie (c’est-à-dire la quantité d’énergie liée) d’un système clos croît constamment ou que l’ordre d’un tel système se transforme continuellement en désordre […] La vérité est que tout organisme vivant s’efforce seulement de maintenir constante sa propre entropie. Et dans la mesure où il y parvient il le fait en puisant dans son environnement de la basse entropie afin de compenser l’augmentation de l’entropie à laquelle son organisme est sujet comme tout autre structure matérielle […] Rien ne saurait donc être plus éloigné de la vérité que l’idée du processus économique comme d’un phénomène isolé et circulaire ainsi que le représentent les analyses tant des marxistes que des économistes orthodoxes. Le processus économique est solidement arrimé à une base matérielle qui est soumise à des contraintes bien précises. C’est à cause de ces contraintes que le processus économique comporte une évolution irrévocable à sens unique. 

Notons que notre auteur citait ici la notion de « basse entropie ». C’était du temps ou celle de « néguentropie », qui avait été popularisée par le physicien Erwin Schrödinger , dans son célèbre ouvrage Qu’est-ce que la vie ?, était banni de la communauté scientifique, si tant est qu’il ne le soit pas encore ! Or il peut être aujourd’hui parfaitement établi, ce que la thèse sur le Bilan écologique s’efforce de démontrer, que la Nature, en fabriquant le Vivant, ne produit pas de la basse entropie, mais de la néguentropie, c’est à dire une énergie dotée d’un très haut niveau d’information. Vu de loin, la différence semble infime, mais abordée en profondeur, nous verrons qu’elle s’avère fondamentale.

Elle nous permettra en effet de chercher, puis trouver, un système de mesure unique et une unité de mesure commune permettant la comparaison directe entre ce que produit la Nature et ce que consomme l’économie. Ce qui introduit la notion de Bilan, comme en comptabilité, qui dans ce cas opposera un actif « écologique » (ce que produit la Nature) à un passif « écologique » (ce que consomme l’économie).

Mais nous n’en sommes pas là; nous disions d’une situation où l’homme apparaît hostile à la vie, qu’il n’en avait pas toujours été ainsi.

Des études d’anthropologie et d’économie écologique en Amazonie ont en effet démontré, à la surprise générale, que certaines tribus retirées de la jungle profonde avaient tout au long de leur présence séculaire, par leurs activités, vivrières et de collecte, augmenté, et non diminué, la biodiversité et la production primaire de la forêt vierge. Un peu comme le fait l’abeille qui butine tout en transportant les pores nécessaires à la fécondation végétale. En d’autres termes, la Nature, vierge, sans aucun engrais ni pesticide de synthèse, produisait plus avec que sans l’intervention de l’homme.

Mystère d’une présence humaine positive que tentera d’expliquer un jeune médecin ukrainien et physicien socialiste, Serguei Podolinsky (1850-1891), réfugié à Montpellier entre 1875 et 1883 alors que la police du Tsar traquait les militants socialistes de son espèce. Il avait envoyé à Marx et Engels en 1880, après les avoir rencontré à Londres en 1876,  une première version, française, Le Travail Humain et la Conservation de l’Energie (1880), d’un article qui deviendra plus tard célèbre : Le Socialisme et l’unité des forces physique (1882). Il tentait dans cet article de leur expliquer comment l’homme nouveau (sous entendu communiste) pourrait augmenter la productivité nette (une fois les intrants primaires décomptés) de la forêt et de l’agriculture, et par là-même sauver l’humanité. Mais il sera déçu, au point d’en mourir de désolation, par l’écoute des deux grands hommes, qui avaient plus remarqué la naïveté de son propos que l’intérêt de sa démonstration.

Nous aurons l’occasion d’étudier en profondeur cette question dans les pages à venir de ce site. Ce qui importe ici c’est que le constat nous autorise à penser qu’il existe une possibilité que l’homme, par son économie, ne détruise plus la Nature (et le Vivant avec elle), mais au contraire permette sa renaissance et son redéploiement planétaire. C’est à dire que l’homme et son économie aident la Nature à augmenter partout sa production de « néguentropie » (ce qui ne saurait se faire sans redéploiement de sa biodiversité) au point  cette fois qu’au niveau planétaire la consommation humaine de néguentropie devienne inférieure à sa production naturelle.

L’homme alors aiderait à produire un ordre (naturel) supérieur au désordre produit par son économie. Ce qui n’a absolument rien à voir avec l’ordre (urbain) de nos cités modernes, à ce point entropique qu’Ilya Prigogine considérait la ville comme une immense « structure dissipative« .

Ce dont Nicholas Georgescu-Roegen désespérait profondément, au point de devenir le père de la Décroissance, un système de pensée et d’action politique qui part du constat selon lequel la production entropique de l’économie humaine est complètement « irréversible ».

Il ignorait donc lui-même cet exemple des indiens d’Amazonie, autant que l’article de Podolinsky, et la question qui émerge ici est de savoir pourquoi l’homme a perdu au cours du temps, non seulement cette capacité à jouer un rôle positif dans la boucle du vivant, mais aussi le souvenir de cette capacité. Ce qui nous ramène à la citation d’Einstein, et au regard sur le modèle de pensée qui a produit la situation actuelle, une coupure complète de la relation homme-nature. Nous aborderons à terme cette question sur un autre site, complémentaire à celui-ci, mais d’un abord différent, pour lequel nous donnerons ici même le lien d’accès.

10) Toujours est-il que l’homme a maintenant besoin d’un guide dans son apprentissage des lois de la nature et du vivant.

11) C’est pour ma part au bout d’une très longue réflexion, personnelle et professionnelle, que j’ai pris la décision de m’engager dans la mise au point d’un outil de diagnostic qui permettrait de calculer directement l’impact des décisions humaines sur la nature et le vivant d’un territoire donné. La portée  et l’objectivité potentielle de cet outil imposaient qu’il soit développé au long d’une recherche doctorale, en économie écologique (certains disent que le père de cette discipline est Serguei Podolinsky, décédé sans connaître son enfant, né au bas mot un siècle après lui), qui serait ensuite portable à la connaissance de tous. Ce qui est le cas ici même !

Ce serait un outil primordial, dans le sens où il aiderait la prise de décision des responsables, techniques

 

Mais il reste maintenant à concrétiser cette outil pratiquement, et c’est pourquoi j’ai fais ce blog afin de faire connaître ce concept, plus largement que dans la communauté scientifique, auprès de toutes personnes intéressées par notre devenir. 

12) qui nous permettrais d’ouvrir un nouveau champ d’étude scientifique sur les « biocompatibilités » Homme-Nature, champ d’étude qui auraient deux objectifs principaux, le premier à atteindre aussi vite que possible, et qui est, l’équilibrage des échanges homme-nature, le second à long termes, comprendre le vivant et les cycles naturelles afin de créer avec elle, une dynamique vertueuse et respectueuse, dans l’espoir d’atteindre un équilibre qui rendra à la fois l’homme plus riche et la nature plus diversifié et luxuriante.

Cet outil nous …

le premier à atteindre aussi vite que possible étant donnée l’urgence dans laquelle nous nous trouvons,celui de  l’équilibrage des échanges homme-nature,

le second à long termes, c’est comprendre le vivant et les cycles naturelles afin de créer avec lui une dynamique vertueuse et respectueuse, dans l’espoir d’atteindre un équilibre qui rendra à la fois l’homme plus « riche » ( à préciser) et la nature plus diversifié et luxuriante.

 

 

13) Changer les choses en ce domaine ne pourra se faire que si tout le monde s’implique, à tous les niveaux, de la sphère citoyenne à l’Etat central, selon les capacités de chacun. Et pour cela, il est indispensable que le diagnostic soit clairement établi, qu’il soit évident aux yeux de tous, comme il en est aujourd’hui du changement climatique; et donc pour cela qu’il soit chiffré (c’est dans ce monde notre référence). Pour ouvrir nos yeux, soit il nous faudra être au bord du gouffre, soit il nous faudra un outil fiable et reconnu par tous.  Seul l’accord  partagé permet l’action collective, qui sera d’autant plus efficace que le consensus est large.

A corriger

Alors j’ai cherché … longtemps ! Et mes dernières recherches m’ont amené à concevoir et mettre au point un nouvel outil de diagnostic et d’aide à la décision, qui permet de calculer, sur un territoire donné, quelle que soit son échelle, l’impact de chacun de nos choix et activités sur le Vivant de ce territoire (et celui de ses voisins quand il s’agit de biens circulants comme l’atmosphère et l’eau).

C’est un outil de calcul très précis, en unités physiques (non monétaires), de la production de vivant par les espaces naturels (actif écologique), et de sa consommation par l’homme (passif écologique); ce qui donne, par comparaison des deux, un bilan (écologique) permettant de voir si, sur un territoire donné occupé par l’homme, son activité est soutenable ou non.

Aussi, longtemps considéré sans valeur, maintenant que la terre commence très sérieusement à atteindre ses limites, notre patrimoine naturel se fait de plus en plus rare. Et ce qui est rare est cher !

…..

……

Commentaires divers

Annie

Commentaires du 05/11

1) J’ai, pour apprendre à les défendre, passé ma vie à étudier le Vivant et la Nature. Mais je n’aurais jamais imaginé à quel point sur terre le Vivant produit la Nature, et la Nature le Vivant, comme l’œuf et la poule. Aujourd’hui pourtant, j’ai pu le vérifier.

2) Et comme désormais l’homme consomme plus de deux fois les flux de production naturels (puisant forcément sur des stocks accumulés depuis des millions d’années), j’ai une nouvelle à vous annoncer : le Vivant tout autant que la Nature sont  à bout de souffle !

* A ce stade, il faut être plus langage courant : ce que la nature produit, il puise donc chaque année un peut plus sur les stocks accumulés depuis des millions d’années, ce qui fait que la Nature est à bout de souffle et donc par là même le Vivant.

3) N’en déplaise aux économistes rétrogrades, par profession ou pure ignorance, il est aujourd’hui devenu évident que notre sort est structurellement lié à tout ce qu’ont sans cesse produit  la nature et le vivant depuis les premiers moments de la Biosphère, il y a près de 3 milliards d’années.

* sans cesse fait lourd

* je ne sais pas ce que c’est que la biosphère, il serait plus simple de dire à ce stade « depuis près de 3…. »

4)  L’air que nous respirons, et que les machines consomment, l’eau que nous buvons, les forêts que nous exploitons, la biodiversité que nous consommons, les ressources fossiles et minières que nous extrayons, …, tout, absolument tout, a été produit par les êtres vivants,depuis les premières bactéries (archées) des sources hydrothermales profondes, jusqu’aux plantes terrestres des hauts plateaux, en passant  par les protistes, ces magnifiques créatures composant le phytoplancton océanique, qui  produit à lui seul près de la moitié de l’oxygène terrestre.

* consomment me choque, utilisent serait peut être mieux

les êtres vivants est imprécis, il s’agit du règne végétal. C’est là qu’il faudrait introduire la notion d’entropie et de négentropie et dire que l’homme ne contribue à aucune négentropie (hormis la sienne), seuls les végétaux le font et qu’il n’est donc qu’un consommateur (mais on introduira plus tard, qu’en fait sa contribution est celle d’être un chef d’orchestre)

* à depuis, je préférerais, qu’il s’agisse des …

5) Aussi, ne croyez surtout pas ceux qui vous disent que le capital, et l’économie derrière, pourront quand il le faut remplacer la nature défaillante,

si besoin

6) Auraient-ils des milliards de milliards, s’ils ne se décident pas à changer leur paradigme démentiel, le sort de leurs sponsors, comme celui de Richard III, qui voulait donner son trône pour un cheval, sera de mourir de soif assis sur leur tas de monnaie, d’or ou de diamants devenus inutiles. Qu’il l’ignorent, s’en doutent ou fassent l’autruche, c’est pareil; ces milliards, ils les ont sans exception tirés d’une ponction quelconque de ressources naturelles,  qu’elles soient productrices ou stabilisatrices de la vie sur terre.

j’enlèverais ce qui est en gras pour mettre leur sort sera de mourir de soif et de faim sur leur tas de monnaie, ce qui est d’autant plus vrai que toute cette monnaie provient intégralement de la ponction des ressources naturelles. Mais est-ce que c’est tout ou il y a aussi production de monnaie par les services ?

7) Prenons l’exemple du changement climatique, il existe une loi incontournable, celle d’une relation directe de cause à effet  entre chaque nouveau $ (ou €) produit, et une quantité de CO2 émise vers l’atmosphère. L’effet de serre, dans son ensemble, n’est ainsi rien d’autre que la contre-partie de tous les $ accumulés, où que ce soit sur terre. Notre patrimoine naturel, aussi profond soit-il enfoncé sous terre, est ainsi sans cesse « déterritorialisé » sous forme de capitaux monétaires, circulant de plus en plus haut et vite. 

* où que ce soit sur terre.  n’est pas utile

circulant de plus en plus haut et vite. ce n’est pas très explicite

8) Le monde tout entier  ne va t-il pas devenir hostile à la vie ? Nous avons toutes raisons de le craindre.

Je préférerais L’être humain est devenu hostile à la vie …

9) le temps est venu d’une nouvelle ère, une ère où l’homme devra acquérir la sagesse, et les qualités d’un chef d’orchestre à l’harmonie sur terre.

* Il faut dire avant cela Pourtant cela n’a pas été toujours comme cela. Et parler de cette tribu qui non seulement ne consomme pas plus que ce que la nature produit par année, mais contribue à ce que la nature produise plus que sans sans intervention ! Et c’est là que l’on peut parler de la vraie contribution de l’homme : il « optimise », il « transcende ». Sans rien apporter de plus dans la balance, sa présence « sage » fait que le flux augmente. La négentropie de l’homme ne serait donc pas biologique (puisqu’il ne produit rien proprement dit) mais informationnelle. L’homme met de « l’ordre ».

Toutefois, il semble que l’homme ait perdu au cours du temps, cette capacité à jouer son rôle dans la boucle du vivant. Pourquoi, c’est parce qu’il s’est carrément extrait de cette boucle, se considérant à part et n’ayant plus conscience qu’il est « nature ».

Mais je ne sais pas si j’ai compris complètement, ce serait à creuser car pour moi, c’est très important.

10) Cependant l’homme a besoin d’un guide dans son apprentissage des lois de la nature et du vivant,

L’homme a perdu ce lien direct à la nature qui faisait qu’il pouvait y exercer son rôle de chef d’orchestre, c’est pourquoi, 

11) et ce que je veux mettre au point, est un outil de diagnostic qui permet de calculer directement l’impact des décisions humaines, sur la nature et le vivant à toutes les échelles d’un territoire, c’est pourquoi il s’avère un excellent outil d’aide à la décision,

* ce que j’ai mis au point au niveau conceptuel est un outil de diagnostic qui permet de calculer directement l’impact des décisions humaines, sur la nature et le vivant à sur un territoire donné,. Il s’agit donc d’un outil primordiale comme aide à la prise de décisions que ce soit de …ou de …(mettre un exemple)

Mais il reste maintenant à concrétiser cette outil pratiquement, et c’est pourquoi j’ai fais ce blog afin de faire connaître ce concept, plus largement que dans la communauté scientifique, auprès de toutes personnes intéressées par notre devenir. 

12) qui nous permettrais d’ouvrir un nouveau champ d’étude scientifique sur les « biocompatibilités » Homme-Nature, champ d’étude qui auraient deux objectifs principaux, le premier à atteindre aussi vite que possible, et qui est, l’équilibrage des échanges homme-nature, le second à long termes, comprendre le vivant et les cycles naturelles afin de créer avec elle, une dynamique vertueuse et respectueuse, dans l’espoir d’atteindre un équilibre qui rendra à la fois l’homme plus riche et la nature plus diversifié et luxuriante.

Cet outil nous …

le premier à atteindre aussi vite que possible étant donnée l’urgence dans laquelle nous nous trouvons,celui de  l’équilibrage des échanges homme-nature,

le second à long termes, c’est comprendre le vivant et les cycles naturelles afin de créer avec lui une dynamique vertueuse et respectueuse, dans l’espoir d’atteindre un équilibre qui rendra à la fois l’homme plus « riche » ( à préciser) et la nature plus diversifié et luxuriante.

13) Sur notre société dans son rapport au Vivant, j’ai compris un jour que pour soigner la malade, cela ne pourrait se faire que si tout le monde s’impliquait, à tous les niveaux, de la sphère citoyenne à l’Etat central, selon les capacités de chacun. Et qu’il faudrait pour cela pouvoir établir un diagnostic indiscutable et transparent pour  tous, comme il en est aujourd’hui du réchauffement climatique, les négationnistes de profession mis à part. Seul l’accord  partagé permet l’action collective, qui sera d’autant plus efficace que le consensus est large.

Changer les choses dans ce domaine, cela ne pourra se faire que si tout le monde s’implique, à tous les niveaux, de la sphère citoyenne à l’Etat central, selon les capacités de chacun. Mais pour cela, il est indispensable que le diagnostic soit clairement établi, qu’il soit évident aux yeux de tous, et donc pour cela qu’il soit chiffré (dans ce monde, c’est notre référence). Ainsi pour ouvrir nos yeux, soit il nous faudra être au bord du gouffre ou il nous faudra un outil fiable.   Seul l’accord  partagé permet l’action collective, qui sera d’autant plus efficace que le consensus est large.

14) Alors j’ai cherché … longtemps ! Et mes dernières recherches, qui ont fait l’objet d’une thèse,  m’ont amené à concevoir et mettre au point un nouvel outil de diagnostic et d’aide à la décision, qui permet de calculer, sur un territoire donné, quelle que soit son échelle, l’impact de chacun de nos choix et activités sur le Vivant de ce territoire (et celui de ses voisins quand il s’agit de biens circulants comme l’atmosphère et l’eau).

redondant

NBRL : Ajouter ici la notion de bilan et compte d’exploitation

15) C’est un outil de calcul très précis, en unités physiques (non monétaires), de la production de vivant par les espaces naturels (actif écologique), et de sa consommation par l’homme (passif écologique); ce qui donne, par comparaison des deux, un bilan (écologique) permettant de voir si, sur un territoire donné occupé par l’homme, son activité est soutenable ou non.

* Ce paragraphe est à mettre après le 12 : Cet outil que j’ai mis au point sous le nom de BE est un outil de calcul très précis, en unités physiques (non monétaires), de la production de vivant par le végétal (actif écologique), et de sa consommation par l’homme (passif écologique); ce qui donne, par comparaison des deux, un bilan (écologique) permettant de voir si, sur un territoire donné occupé par l’homme, son activité est soutenable ou non.

16) Aussi, longtemps considéré sans valeur, maintenant que la terre commence très sérieusement à atteindre ses limites, notre patrimoine naturel se fait de plus en plus rare. Et ce qui est rare est cher !

* Sans intérêt pour moi. Il faut finir l’introduction sur le  chapitre 13, une ouverture au lecteur qui a un rôle à jouer dans ce changement et qui doit pour cela devenir « connaissant » à défaut d’être  » intuitif »

commentaires de fin octobre :

Proposition : Au vu de ce premier passage je dirai simplement (en substance, à retravailler bien sûr) :

J’ai passé toute ma vie dans la défense de la Nature et dans l’étude de ce qu’est le Vivant. Dans ce sens, mes dernières recherches m’ont amenées à créer un outil performant de décision qui permet de calculer sur un territoire donné, l’impact de chacun de nos choix et activités sur ce Vivant.

Il s’agit du BE, que j’ai élaboré dans le cadre de ma thèse que…. Ce genre d’outil est indispensable puisque désormais l’activité humaine consomme chaque année plus que la planète ne peut produire, cela peut-il durer?…

Cet outil permet un calcul précis de la production du Vivant (actif) et de sa consommation par l’homme (passif), ce qui donne un bilan chiffré, qui permet précisément de voir si, sur le territoire donné, l’activité humaine est soutenable ou non .

Cet outil dépasse celui de l’Empreinte écologique, en ce qu’il apporte…

Ainsi, ce blog a une double vocation :

  • de transmettre le résultat de 40 ans de recherches transdisciplinaire dans le domaine du Vivant qui m’ont permis de mettre en évidence les caractéristiques et qualités du Vivant…
  • et de faire connaître cet outil, le BE, qui a le mérite de mettre en évidence un solde chiffré du bilan écologique, qui parle de lui-même, évitant ainsi la tendance actuelle à faire l’autruche quand il s’agit d’intérêts économiques. Ce pourrait être ainsi un outil de pilotage qui éviterais les “dérapages” que nous avons connu…

Là, comme le dit Arnaud,  tu t’adresses au gens pour qu’il est un rôle à soutenir ce projet

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Arnaud 

A : le temps est venu d’une nouvelle ère, une ère où l’homme devra acquérir la sagesse, et les qualités d’un chef d’orchestre à l’harmonie sur terre.
Cependant l’homme a besoin d’un guide dans son apprentissage des lois de la nature et du vivant, et ce que je veux mettre au point, est un outil de diagnostic qui permet de calculer directement l’impact des décisions humaines, sur la nature et le vivant à toutes les échelles d’un territoire, c’est pourquoi il s’avère un excellent outil d’aide à la décision, qui nous permettrais d’ouvrir un nouveau champ d’étude scientifique sur les « biocompatibilités » Homme-Nature, champ d’étude qui auraient deux objectifs principaux, le premier à atteindre aussi vite que possible, et qui est, l’équilibrage des échanges homme-nature, le second à long termes, comprendre le vivant et les cycles naturelles afin de créer avec elle, une dynamique vertueuse et respectueuse, dans l’espoir d’atteindre un équilibre qui rendra à la fois l’homme plus riche et la nature plus diversifié et luxuriante.

Au tout début quand tu parle d’un instrument de nature quantique, tu veux dire information ?

J’ai la même observation à faire on met le quantique à toutes les sauces, il faut préciser

Oui, c’est une mesure de l’entropie/néguentropie de l’information, qui structure l’énergie.

Tu parle d’un outils de nouvelle génération, comme si y’en avait eu d’autre (Oui ce n’est pas clair, je voulais dire d’après la génération de l’empreinte écologique) et après tu parle de Marx et Engel qui n’ont jamais réussi, je pense que dans le but de paraître “humble” face au problème de l’environnement, et que pour donner une petite touche de “destiné” (un peu de sensationnalisme à l’américaine de façon dosé pour toucher le sentiment d’être là au bon moment pour faire la bonne chance pour éviter la fin du monde).Eh bien Il faut Montrer que c’est pas un combat gagnable seul, et que si tout le monde attend d’être sauvé sans rien faire, on va à la cata

Expliquer en quoi de nombreuses générations d’écologiste, économiste, physicien etc ont construit plein de pan de connaissance que tu as pu synthétiser, combiner avant qu’il ne soit tard , les gens ont l’habitude du schéma “scénario catastrophe” et l’apprécie tout particulièrement, il faut leur donner l’impression que cette fois c’est eux qui sont au centre de l’histoire et que ce n’est pas juste un film.

Peut-être une ou deux lignes vite fait, pour mettre un peu de poids sur les mots en parlant des écosystème à deux doigts du non retour possible à la viabilité. OK OK

Toucher l’émotionel avant l’intellectuelle de la personne moyenne, avant qu’elle soit dépassée et en ai marre de ton “charabia scientifique” (Et bien c’est justement là que tout commence : Dire d’entrée avec des mots très simples, ce qui, de toutes façons, est très complexe – Si cela ne l’avait pas été, cela ferait longtemps qu’un tel outil existerait) je ne parle pas pour moi mais pour les 80-90% de la masse de la population, tu parle chinois avec des mots français,  n’oublie pas que le problème de la majorité de la population c’est qu’elle s’en fiche de savoir des choses, que l’ignorance lui ai confortable, et qu’elle ne fera pas d’efforts si ça semble trop compliqué et hors de portée, et malheureusement on a besoin de la quantité autant que de la qualité du peuple pour avoir un réel impact.

c’est malheureux de devoir faire ça mais les gens, sont manipulé par ce genre de discours en permanence, l’émotion prend le pas sur la raison, dès qu’il entende un discours charismatique, aussi creux soit-il. Bref les gens ont été éduqué à aimé certaines choses, présente leur d’une façon qu’ils aimeront, s’ils peuvent s’imaginer en héros défenseurs de la planètes.

Il ne faut pas que ce soit trop voyant mais quand même assez pour que le lecteur se sentent important.

….

C’est un outil de diagnostic d’état du vivant (via une nouvelle « fonction d’état » thermodynamique, nous aurons l’occasion de voir ce que cela veut dire)

qu’entend tu par fonction d’état thermodynamique ? (tu peux le lire dans ma thèse, toi au moins – si tu ne trouves pas la page (voir sommaire détaillé à la fin), dis le moi

Dès la deuxième ligne dire qu’on expliquera plus tard, ça commence mal pour l’impression de quelque chose de simple, Oui c’est vrai

mieux vaut en dire le maximum compréhensible en 1 phrase, de façon à ce que la personne pense avoir compris puis revenir plus tard dessus pour approfondir. (OK)

au service de la lutte globale contre la crise écologique (pollution, changement climatique, destruction de la biodiversité, …), pour ne nommer que celle-ci. C’est aujourd’hui l’outil conceptuel d’aide à la décision le plus puissant en vue de la définition, de la caractérisation et de l’organisation d’une nouvelle économie, sociale, solidaire et écologique (esse), seule susceptible de permettre le redéploiement terrestre du vivant comme unique solution à la crise planétaire généralisée.

redéploiement terrestre comme unique solution, ça fait un peu militaire comme terme (c’est vrai), je pense qu’il faudrait trouvé(er) un terme plus vivant,

ça aurait un sens si tu te voyais comme une sorte de général de guerre contre “ l’entropie ”, mais eux ne se verront pas comme des soldats, ce n’est pas très important pour l’instant mais je pense qu’à long terme la façon dont tu vois les choses se fera ressentir, et il est important de savoir le plus tôt possible la direction ou but, et le chemin que tu veux prendre pour y aller, et pour ça il est important de clarifier l’image que tu as de toi par rapport au mouvement que tu veux créer . OK

Je vais essayer

Pour reprendre, le mythe du héros, il y a deux analogies possibles, celle du héros menant ses troupes à la bataille, et celle du sage qui offre une partie de sa sagesse au héros et une arme (ça peut être une épée autant qu’un secret ou autre) capable de vaincre son ennemi, à noter que le rôle du sage (celui qui par expérience, connaît et prévoit) est de savoir quelles informations doivent être révélées et quelles informations doivent rester cachées, qu’il est celui qui doit orchestré une partie de l’intrigue du héros pour que celui-çi prennent le bon chemin, et réussissent une sorte de réitération de l’histoire du sage, de façon à ce que le chemin mène toujours plus loin, bref le sage est le héros d’une autre histoire qui transmet son héritage au héros afin que celui-çi puissent achever sa propre histoire en rapport avec celle du sage.

A toi de voir quel rôle tu veux dans cette histoire mais il me semble que celui du sage transmettant le flambeau est mieux choisi, et que cette flamme est transmise de manière ouverte et infini (grâce à internet, ça perd un peu de charme d’un coup :p), une flambeau qui peut allumer toutes les torches qui le toucheront. OK

C’est pas mal dit et expliqué

Symboliquement parlant, tu permet à tout ceux touché par ta cause, de jouer le rôle du héros dans son histoire personnelle, de sa quête contre le “mal”.

Ce serait l’idéal ….

Le grand problème de notre époque c’est la perte du sacré et des valeurs qui allaient avec.

Comme si le sacré avait disparu avec toutes les valeurs qui pouvaient faire d’un homme quelqu’un qui tend vers la grandeur d’un héros, et que sans héros pour porter haut une bannière, courage et volonté ont disparu, et que seules les livres et les films peuvent ramener un bref instant cette dimension à la vie, les gens ont pris l’habitude de vivre par procuration ces sentiment.

Dimension qui semble se perdre à l’instant ou il n’y a plus de grandes causes clairement visible, et donc de grands ennemis communs.

Depuis toujours, avant la mondialisation, les camps gentils/méchants ont toujours été clairement défini, il y avait ceux avec qui notre pays commerçaient et ceux avec qui notre pays faisaient la guerre, et cela changeait régulièrement par cycle plus ou moins régulier.

Tout homme avait au moins dans sa vie un ennemi qui lui empirait la vie, quelque chose à défendre de quelqu’un, même sans l’avoir jamais vu de sa vie, juste parce que les décisions d’un seul homme puissant peuvent changer la vie de tout un pays.

Un dirigeant despotique qui crée des taxes abusives pour une guerre invasive ou le dirigeant despotique qui attaque votre pays qui pour se défendre vous taxes, et tous ceux qui le servent, sont vos ennemis aussi (C’est une grosse généralisation mais c’est un peu ça).

Cela a toujours été simple, dans l’esprit de chacun il y avait un bon côté et un mauvais côté, parce qu’une guerre lui a coûté quelque chose d’irremplaçable de la famille, une maison etc …

Sauf que les choses ont évolué et que les dirigeants ont compris qu’en centrant toutes les pertes sur quelque chose d’inutile (qu’est-ce que c’est ?l’argent) en soi mais à laquelle on donne une valeur virtuelle, alors les gens par le biais cognitif ne ressentent pas la perte de la même façon et seront moins enclin à prendre des risques et à se rebeller.

Donc maintenant la guerre se fait sur un autre plan, et son unique victime directe est l’argent, qui n’est ni irremplaçable ni n’as de valeurs émotionnelles. Si bien qu’il semble anodin au puissant de jouer avec l’argent des pauvres et donc avec la qualité de vie des pauvres, et les pauvres pensent que c’est normal, ou du moins pas aussi horrible qu’avant, qu’un état se crée des lois comme ça l’arrange, et taxe au petit bonheur la chance même si ça leur pourrie la vie.

Il y a une expérience connu du biais cognitif, qui demande de donner la valeur de la vie d’un inconnu en argent, tout le monde répond que c’est inestimable, qu’une vie ça vaut des millions blablabla.

Maintenant on dit qu’en moyenne pour toutes causes de décès confondu dans le monde, il faut en moyenne 100 euro (au hasard) pour sauver une vie, et qu’il y’a plus de gens qui meurent par manque de soins que de personnes qui sont sauvés par des soins, est-ce qu’il est acceptable de payer 200 euro pour sauver un inconnu alors qu’on pourrait en sauver 2 ou plus pour la même somme ?